Rapport de mission de promotion du coton africain et de développement de coopération sud – sud, au Bangladesh et au Vietnam (Togo)

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Report

Report of AMECY Yao Adodo (Nouvelle Société Cotonnière du Togo) - 21 Mai 2010

Literature reference
Author
AMECY Yao Adodo (Nouvelle Société Cotonnière du Togo)
English title of the work
Rapport de mission de promotion du coton africain et de développement de coopération sud – sud, au Bangladesh et au Vietnam (Togo)
Title of the work
Rapport de mission de promotion du coton africain et de développement de coopération sud – sud, au Bangladesh et au Vietnam (Togo)
Year of publication
21 Mai 2010
Author's email
Mr ASSOGBAVI B. Kossi, Chef service Communication NSCT Email : kossibij@gmail.com
Institution
Association cotonnière africaine (ACA) - Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT)
Countries concerned
Associated thesauruses
Saved on
2016-09-29
Modifed on
2016-09-29
Administrated by
ASSOGBAVI Kossi Y

Abstract
Dans le cadre des activités de promotion du coton africain et de développement de coopération sud – sud, au Bangladesh et au Vietnam, une mission de la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT) a participé à une rencontre à Dhaka au Bangladesh et à Hanoi et Ho Chi Minh ville au Vietnam.
L’objectif de cette mission est de contribuer à :
• Avoir une meilleure compréhension et connaissance des marchés bangladeshi et vietnamiens
• Avoir une meilleure compréhension de la politique commerciale de chacun de ces deux pays envers l’Afrique
• Initier des contacts commerciaux et développer une coopération entre égreneurs et exportateurs du coton africain et l’industrie du textile de ces deux pays
• Amorcer une première étape vers une coopération technique et commerciale plus étroite entre ces deux pays et l’Afrique et
• Identifier les opportunités commerciales existantes dans ces deux pays.
Plusieurs constats ont été faits lors des travaux notamment :
 Une insuffisance chronique d’informations sur le coton africain aussi bien au Bangladesh qu’au Vietnam.
 L’important travail fait par l’Association Cotonnière Africain (ACA), sur le ‘’label africain’’ ne profite qu’aux classeurs et aux négociants. Les clients n’ont aucune information sur le coton africain, ce qui fait qu’ils n’arrivent pas à identifier clairement les qualités à partir des marquages. Cette insuffisance d’informations est exploitée par les traders pour trafiquer les qualités en vendant du coton de bas grades à la place des hauts grades.
 En outre, plusieurs filatures ont relevé le niveau élevé de contaminants découverts dans le coton africain malgré les efforts consentis par les pays de l’ACA pour améliorer et préserver la qualité du coton.
 il se pose également, le problème de transport du coton entre l’Afrique et ces deux pays et celui de la mauvaise qualité du coton de certains pays de l’Afrique.
Pour remedier à cette situation, il a été convenu de mettre en place au sein de l’ACA, une stratégie commune afin de rendre disponible les informations sur le coton africain, compte tenu de la vaste opportunité d’importation que constitue ces deux pays. Pour cela, l’association cotonnière africaine (ACA) et l’association des producteurs de coton en Afrique (AProCA) doivent s’entendre pour une présentation commune en vue de promouvoir le coton africain au cours des différents forums. Par ailleurs, le Bangladesh s’est dit prêt à appuyer l’installation des filatures et textiles en Afrique, à condition de s’impliquer dans le processus d’installation et dans la gestion de ces structures.
Au vu de tout ceci, il apparaît qu’un nouvel élan doit être insufflé à la production cotonnière africaine sur les plans de la promotion, de la qualité et de la quantité afin de le rendre plus compétitive sur le marché international
English abstract
Dans le cadre des activités de promotion du coton africain et de développement de coopération sud – sud, au Bangladesh et au Vietnam, une mission de la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT) a participé à une rencontre à Dhaka au Bangladesh et à Hanoi et Ho Chi Minh ville au Vietnam.
L’objectif de cette mission est de contribuer à :
• Avoir une meilleure compréhension et connaissance des marchés bangladeshi et vietnamiens
• Avoir une meilleure compréhension de la politique commerciale de chacun de ces deux pays envers l’Afrique
• Initier des contacts commerciaux et développer une coopération entre égreneurs et exportateurs du coton africain et l’industrie du textile de ces deux pays
• Amorcer une première étape vers une coopération technique et commerciale plus étroite entre ces deux pays et l’Afrique et
• Identifier les opportunités commerciales existantes dans ces deux pays.
Plusieurs constats ont été faits lors des travaux notamment :
 Une insuffisance chronique d’informations sur le coton africain aussi bien au Bangladesh qu’au Vietnam.
 L’important travail fait par l’Association Cotonnière Africain (ACA), sur le ‘’label africain’’ ne profite qu’aux classeurs et aux négociants. Les clients n’ont aucune information sur le coton africain, ce qui fait qu’ils n’arrivent pas à identifier clairement les qualités à partir des marquages. Cette insuffisance d’informations est exploitée par les traders pour trafiquer les qualités en vendant du coton de bas grades à la place des hauts grades.
 En outre, plusieurs filatures ont relevé le niveau élevé de contaminants découverts dans le coton africain malgré les efforts consentis par les pays de l’ACA pour améliorer et préserver la qualité du coton.
 il se pose également, le problème de transport du coton entre l’Afrique et ces deux pays et celui de la mauvaise qualité du coton de certains pays de l’Afrique.
Pour remedier à cette situation, il a été convenu de mettre en place au sein de l’ACA, une stratégie commune afin de rendre disponible les informations sur le coton africain, compte tenu de la vaste opportunité d’importation que constitue ces deux pays. Pour cela, l’association cotonnière africaine (ACA) et l’association des producteurs de coton en Afrique (AProCA) doivent s’entendre pour une présentation commune en vue de promouvoir le coton africain au cours des différents forums. Par ailleurs, le Bangladesh s’est dit prêt à appuyer l’installation des filatures et textiles en Afrique, à condition de s’impliquer dans le processus d’installation et dans la gestion de ces structures.
Au vu de tout ceci, il apparaît qu’un nouvel élan doit être insufflé à la production cotonnière africaine sur les plans de la promotion, de la qualité et de la quantité afin de le rendre plus compétitive sur le marché international

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L’objectif de cette mission est de contribuer à :
•	Avoir une meilleure compréhension et connaissance des marchés bangladeshi et vietnamiens
•	Avoir une meilleure compréhension de la politique commerciale de chacun de ces deux pays envers l’Afrique
•	Initier des contacts commerciaux et développer une coopération entre égreneurs et exportateurs du coton africain et l’industrie du textile de ces deux pays
•	Amorcer une première étape vers une coopération technique et commerciale plus étroite entre ces deux pays et l’Afrique et 
•	Identifier les opportunités commerciales existantes dans ces deux pays.
Plusieurs constats ont été faits lors des travaux notamment :
	Une insuffisance chronique d’informations sur le coton africain aussi bien au Bangladesh qu’au Vietnam. 
	L’important travail fait par l’Association Cotonnière Africain (ACA), sur le ‘’label africain’’ ne profite qu’aux classeurs et aux négociants. Les clients n’ont aucune information sur le coton africain, ce qui fait qu’ils n’arrivent pas à identifier clairement les qualités à partir des marquages. Cette insuffisance d’informations est exploitée par les traders pour trafiquer les qualités en vendant du coton de bas grades à la place des hauts grades.
	En outre, plusieurs filatures ont relevé le niveau élevé de contaminants découverts dans le coton africain malgré les efforts consentis par les pays de l’ACA pour améliorer et préserver la qualité du coton. 
	il se pose également, le problème de transport du coton entre l’Afrique et ces deux pays et celui de la mauvaise qualité du coton de certains pays de l’Afrique.
Pour remedier à cette situation, il a été convenu de mettre en place au sein de l’ACA, une stratégie commune afin de rendre disponible les informations sur le coton africain, compte tenu de la vaste opportunité d’importation que constitue ces deux pays. Pour cela, l’association cotonnière africaine (ACA) et l’association des producteurs de coton en Afrique (AProCA) doivent s’entendre pour une présentation commune en vue de promouvoir le coton africain au cours des différents forums. Par ailleurs, le Bangladesh s’est dit prêt à appuyer l’installation des filatures et textiles en Afrique, à condition de s’impliquer dans le processus d’installation et dans la gestion de ces structures.  
Au vu de tout ceci, il apparaît qu’un nouvel élan doit être insufflé à la production cotonnière africaine sur les plans de la promotion, de la qualité et de la quantité afin de le rendre plus compétitive sur le marché international
 
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