Impatriés temporaires en France et en Europe de moins de 80 ans

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Document technique de OECD - 2005

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  • Référence bibliographique
  • Année de publication
  • 2005
  • Auteur(s)
  • OECD
  • Titre du document
  • Impatriés temporaires en France et en Europe
    de moins de 80 ans
  • Titre en anglais
  • Impatriates temporary in France and Europe
    under 80 years
  • Adresse URL
  • http://www.slire.net/download/1444/world_bank_taskforce_on_cd_in_africa.pdf
  • Institution impliquée
  • GOVNET
  • Pays concerné(s)
  • France
  • Thésaurus associé(s)
  • ESPEs-Africa
  • Mots-clé(s) ESPEs-Africa
  • Renforcement institutionnel national
    Politiques d’investissement national
    Prospectives de politiques de développement
    Renforcement institutionnel régional
    Evaluation des impacts des politiques régionales
    Evaluation des impacts des accords internationaux
  • Enregistré le
  • 2012-09-20
  • Modifié le
  • 2012-09-20
  • Administré par
  • aboudou fatiou
  • Résumé
  • For nearly three decades, African countries and their development partners have acknowledged that problems of poverty and weak institutional capacity are inextricably linked. The lack of state capacity to carry out basic public management functions means that large segments of the population do not have access to basic social services. Weak state institutions impose costs on entrepreneurs, exacerbate their risks, and help perpetuate barriers to competition (for example, by failing to enforce a robust legal and regulatory framework), thereby stunting economic growth. By the same token, entrepreneurs often lack the know-how to take advantage of opportunities to enter and effectively compete in nascent and emerging markets. Community and civil society groups also lack the capacity to organize themselves to influence government planning and budgeting processes and contributing to the delivery of basic services. Institutions of higher learning and think-tanks lack the personnel, resources, and incentives to undertake relevant applied research, and support knowledge sharing between public, private, and civil society sectors. Overall, developing the capacity to undertake collective action and embark on private initiatives is a high priority for African countries that aim to secure the economic and social fundamentals of sustainable development.
  • Résumé en anglais
  • Pendant près de trois décennies, les pays africains et leurs partenaires au développement ont reconnu que les problèmes de la pauvreté et de la faiblesse des capacités institutionnelles sont inextricablement liés. Le manque de capacité de l'État pour mener à bien les fonctions de base de la gestion publique signifie que de larges segments de la population n'ont pas accès aux services sociaux de base. Faiblesse des institutions étatiques imposent des coûts aux entrepreneurs, aggraver leurs risques, et contribuent à perpétuer les obstacles à la concurrence (par exemple, en omettant d'appliquer un cadre juridique solide et réglementaire), ce qui rabougrissement de la croissance économique. De la même façon, les entrepreneurs manquent souvent du savoir-faire pour tirer parti des occasions d'entrer et de concurrence sur les marchés naissants et émergents. Communautaire et les groupes de la société civile n'ont pas non plus la capacité de s'organiser pour influencer la planification gouvernementale et les processus de budgétisation et de contribuer à la fourniture de services de base. Établissements d'enseignement supérieur et de réflexion n'ont pas le personnel, les ressources et les incitations à entreprendre des recherches appliquées pertinentes, et le partage des connaissances entre les secteurs de la société un soutien public, privé et civil. Dans l'ensemble, le développement de la capacité d'entreprendre une action collective et d'entreprendre des initiatives privées est une grande priorité pour les pays africains qui visent à assurer les fondamentaux économiques et sociaux du développement durable.