Etude de système de culture de Taro dans la zone soudanienne (Tchad)

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Document technique de Djoula Arsène - 2012

  • Référence bibliographique
  • Année de publication
  • 2012
  • Auteur(s)
  • Djoula Arsène
  • Titre du document
  • Etude de système de culture de Taro dans la zone soudanienne (Tchad)
  • Titre en anglais
  • Study of system of culture of Taro in the Sudanese zone (Chad)
  • Adresse de l'éditeur
  • Tchad,N'djaména
  • Institution impliquée
  • ITRAD
  • Mois de création ou de publication
  • Mai
  • Pays concerné(s)
  • Tchad
  • Thésaurus associé(s)
  • Enregistré le
  • 2012-10-31
  • Modifié le
  • 2012-10-31
  • Administré par
  • EMMANUEL Ehnon Gongnet
  • Résumé
  • Les plantes à racine et tubercules en général et le taro en particulier sont utilisés, dans certains pays en Afrique, dans l’alimentation humaine.
    Au Tchad, le taro est beaucoup apprécié par une grande partie de la population et sa production prend de plus en plus une ampleur importante dans la zone soudanienne.
    En 1955, le pasteur de Djoumane(pays kim), Mata Yo, introduisit dans le village les semences d’un taro cultivé dans la Région de Jos. La variété adoptée a Djouman est le « gunin (=taro) soso », du nom de l’ethnie voisine de Jos a connu un succès rapide auprès de l’ensemble de quatre bourgades « Kim » : Djoumane, Kolobo, Eré et Kim. Cette culture, s’est généralisée, en 1960-1961, dans beaucoup des villages, qui maintiendront le monopole de cette production pendant près de quinze ans, puis les établissements du fleuve : Besme, Goundo, Kabalay …. En amont de kim, l’adoptèrent à leur tour. Au stade actuel, le taro demeure l’un des cultures qui présente une source des revenus très importante pour les producteurs dans la zone soudanienne. Aussi il ressort du constat que malgré quelques études réalisées, par les institutions telles que le CIRAD, ITRAD (Station de Bébédjia), etc. le système de production, la connaissance des cultivars locaux et leur diversification semble être peu développés par la recherche au Tchad.
    Cependant, beaucoup des travaux de recherche ont été faits des par les institutions de recherche en Afrique (Nigéria, Madagascar, Cameroun, etc.) en Europe, en Asie, etc.
    C’est dans ce cadre que ce projet de recherche se propose d’apporter sa contribution à l’amélioration de la sécurité alimentaire, à la diversification des cultures alimentaires et permettre d’améliorer les revenus des producteurs de taro.
  • Résumé en anglais
  • to be completed